• Fossile de poisson.

     Le monsieur qui nous le montre vit plus ou moins dans le parc et a une aura très impressionante.


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  • Parc avec des traces de dinosaures et des reconstitutions


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  • Petits singes (je ne me rapelle plus leurs noms) très charmants...et gourmands

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  • A Souza, on s'est pris une pousada (petit hôtel) pour se poser, enfin, durant la matiné.

    Ensuite la famille d'Inocencio est venue nous chercher (avec 1h de retard mais ici c'est la norme, et l'on s'y fait) : accueil on ne peut plus chaleureux ! En gros, on leur faisait l'honneur d'être français et de venir chez eux. On a été reçu en roi (et reine). Le soir, ils avaient un baptême où ils nous ont conviés, et là je tiens à dire que les cérémonies religieuses sont beaucoup plus supportables au Brésil qu'en France : max 30min, avec une ambiance très décontractée (soulagement pour moi). Après, gros repas dans la famille, là encore  accueil très chaleureux : on nous présentaient en disant « viens, ce sont des français », puis réaction en chaîne... C'était presque gênant (je dis bien presque, parce que c'est le genre de choses où l'on s'y fait vite, lol, être dorloté c'est pas si mal...).

    Petite anecdote des plus amusantes (plus pour vous que pour moi, je pense) : pendant le repas, « encore » (et ce n'est pas pour me vanter), une fille qui me lorgne (être blond au Brésil c'est vraiment sympa...), alors l'oncle, dans sa grande générosité, essaie d'arranger le coup car ça lui ferait plaisir qu'une fille de sa famille soit avec un français... Enfin bref l'oncle l'amène à notre table, demande à Marine de faire les traductions (elle était d'ailleurs morte de rire et n'arrangeait pas les choses)... jusqu'à nous envoyer (sans vraiment pouvoir se défiler) faire une ballade main dans la main. Assez sympa : tous les regards tournés vers nous, et la fille assez timide qui ne parlait pas... J'ai donc du me lancer dans la conversation en essayant d'appréhender cette langue que je parle si bien ...(heureusement  qu'il y a les gestes).

    Fin de soirée très à « l'aise »..., on annonce enfin le départ et j'arrive à rentrer dans la voiture, mais... là on me rappelle pour prendre la photo souvenir... accolés tête contre tête...!

    Ah, la générosité et la chaleur brésilienne... (pas tout le temps fait pour moi tout ça, lol).

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    Dans la ville sinon, on me prend encore pour un allemand (avec un groupe d'enfants qui cri à tue tête « allemand, allemand... »), si je voulais passer inaperçu...

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    Le lendemain, la famille, toujours très dévouée et attentionnée, nous a emmené découvrir un parc avec des traces de dinosaures et un superbe lac (cf photos). Le midi nous avons été invité au resto, et le soir ça été barbec avec des invités. J'ai du monter la tente pour la montrer à l'oncle très intéressé.

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    Lundi matin, retour à Joao Pesoa, la famille nous redit que nous sommes les bienvenus, que l'on peut venir quand on veut... C'était vraiment très touchant toute l'attention qu'ils nous ont porté !

     

    Sur la photo, la famille d'Inocencio 


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  • Vendredi matin départ prévu pour Souza (ville où habite la famille d'Inocencio, le copain de Marine). On se lève à 5h du mat, le temps de plier la tente, de ranger les affaires et de retourner en ville ; 45 min après l'heure prévue de l'arrivée du bus, on comprend qu'il ne passera pas (il a sûrement du avoir un pb car les gens nous disent que normalement il passe tout les jours à heure « fixe »). On s'est alors dégoté ce qu'ils appellent là-bas « un transport alternatif » ; ça valait le coup : une sorte de vieux van aménagé pour rentrer 15 personnes... je n'en dit pas plus... Enfin bref, tout ça pour arriver dans une ville avec une gare routière susceptible de nous présenter un car pour notre destination. L'espoir est de courte durée, on prend un bus pour une autre gare routière intermédiaire.

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    A ce stade là, il peut être intéressant de vous parler de la conduite brésilienne... Pour ceux qui était à Barcelone, il vous suffit d'imaginer le bus de taré que l'on avait pris un soir, pour avoir une idée de tous les bus en ville (grandes accélérations, coup de freins assez impressionnants, gros coups de volants...) ; quant aux cars de longues distances, quelque soit le type de route et de temps (en ce moment il pleut pas mal...), l'objectif est de tracer... (on s'est fait fait quelques routes de montagne avec le sol mouillé à une allure assez relevée). On sent que le Brésil est un pays avec une forte présence religieuse, car là il faut vraiment être croyant...lol, ceci dit il n'y a pas l'air d'avoir tant d'accidents que ça : quelque chose m'échappe.

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    Bon, je reviens à la gare routière, on arrive bien sûr juste après qu'un car correspondant soit parti, alors le prochain est dans... 8h...

    8h dans une gare routière, ça fait long...

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    Arrivée à Souza un peu plus de 24h (au lieu de 8- 10h) après notre départ de la Pedra de Boca.


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