• Là on m'apprend que je suis la première personne étrangère au projet à venir sur cette rivière...

    Merci.


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  • Arrivé à Kavanayen, je discute un peu avec la coopérative Emensensen qui s'occupe de développer du tourisme solidaire dans la Gran Sabana. En effet, la Gran Sabana est un véritable paradis de multiples paysages magiques, ce qui implique donc un gros nombres de touristes et un gros impact environnemental nuisible à la nature.

    Ils me proposent de me joindre à eux le lendemain pour aller repérer et créer un nouveau chemin qui soit une alternative à une grosse piste d´accès touristique qui mène à une superbe cascade. Objectif : par la suite fermer la "grosse" route, et obliger les touristes et les agences (il y en a plein et beaucoup font n'importe quoi) à passer par le petit chemin par groupe de 6 max et encadrés par les guides de la coopérative.   

    Pour la suite, je laisse parler les photos ! 


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  • Pour le style, mais bon j'étais bien content d'avoir un bouquin à lire pour patienter...

    Soit dit en passant, le bouquin vien d'une québequoise rencontrée à Belem et qui cherchait à le passer car elle venait de le terminer, sympa.


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  • Passage de la frontière pour le Vénézuela sans pb, je suis même obligé d'y retourner le lendemain pour faire tamponner mon entrée sur le passeport car il n'y avait personne en poste administratif, avis aux clandestins...

    Arriveé à Santa Elena, hôtel...

    Puis trajet en bus pour Kavanayen, on m'avait indiqué où je devais m'arreter pour rejoindre l'entrée de la route menant au petit village.

    Par contre le directeur de l'association de tourisme solidaire ne m'avait pas menti en me disant que c'était une route déserte ; normalement j'aurais du téléphoner (à mon départ de Santa Elena) à la coopérative de Kavanayen pour qu'il viennent me chercher, mais, en arrivant à la gare routière, le bus allait partir donc je suis monté direct dedans en me disant que je ferais du stop par la suite : résultat (les photos sont assez parlantes...), 2h d'attente effectivement sans une seule voiture, après  2h30 une voiture dans le sens inverse, et après 3h, enfin un 4x4 qui a  bien voulu prendre le gringo...

    J'ai vite compris la raison du pourquoi "route déserte" : en fait ca devient quasi tout de suite une piste, et qui plus est pas mal défoncée (inutile de s'y aventurer sans 4x4...) , qui ne dessert que quelques maisons.

    Enfin, après 1h30 de trajet dans un décor magnifique, on arrive à Kavanayen (village d'indigènes "Pémons" d'un peu plus de 1000 hab pommé là encore à 250km de tout...). 



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  • Là encore galère, car on m'avait dit (ou j'avais cru comprendre) que l'on pouvait me redescendre jusqu'au passage du bus, mais non en fait il n'en est rien... Il est 11h15 et le dernier bus passe à 13h... Je pars en speed, avec toujours mon gros sac à dos... et derrière moi j'entend le gars du resto qui se marre en disant "ah ah francès..." (il parlait espagnol, c'est pour cela que j'ai pu communiquer qvec lui), no coment...

    Enfin bref, trajet épique : allure bien soutenue, jusqu'à qu'une moto qui passait par là accepte de me prendre pour un bout de chemin, et puis finalement je suis même arrivé un peu en avance. Un peu de dégoût après, car j'avais oublié que j'étais au Brésil et que par conséquent le car est arrivé 1/2 h en retard : ca valait bien la peine de se dépecher...

     


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